16 Septembre 2007 : Vieille ville chinoise, ex-concession française

Debout assez tôt pour avoir le temps d’avoir une vraie journée devant nous. D’abord, nous réservons nous billets de train pour Hangzhou à l’hôtel pour le lendemain.
Puis, départ pour la vieille ville chinoise et particulièrement le jardin Yu en taxi. On insiste dès le début pour que le taximètre soit mis.

Jardin Yu : un des trois plus beaux jardins de Chine. Comme nous n’irons pas à Suzhou, nous tenions à y passer du temps. C’est vrai que c’est impressionnant ! Malheureusement, c’est bondé de monde : nous sommes dimanche !

Ensuite, nous nous sommes baladés dans la vieille ville chinoise. Ce qu’on a vu est très joli mais TROP touristique !
On a marché jusqu’au marché aux puces. Bon, j’aime pas bien ça à Paris alors j’vais pas aimer ça ici !

On a déjeuné puis on est allés au musée de Shanghai. Superbe collection de poterie. Pour le reste, très honnêtement, j’avais tellement mal aux pieds que j’ai zapé. Sauf un sursaut de vie pour les peintures chinoises.

Après ça, on a sauté dans le métro pour aller voir l’ex-concession française et le quartier de Xin Tian Di : quartier des expats et des touristes très clairement. On est rentrés gentiment à pieds (explosés).

On a récupéré nos billets de train à l’hotel et la nana nous présente des billets pas au bon horraire. Grrrr départ 7h25 ! Elle nous affirme que c’est celui que nous avions demandé. Nous avions tous les horaires de train et on avait coché sur nos papiers ceux que nous avions commandés. On lui montre ce papier pour lui dire que l’erreur venait d’elle et pas de nous et là elle nous dit « ah, mais y’avait plus de place sur celui que vous vouliez ». Heu.. bien sur, oui ! C’est marrant y’a trois minutes c’était nous qui nous étions plantés ! Mais les chinois sont près à tous les mensonges pour ne pas « perdre la face ».
Nous nous lèverons donc à l’aube. J’espère qu’Hangzhou vaut le coup. En tous cas, l’esprit arnaqueur et intéressé de Shanghai me déplait vraiment. Cette ville aurait-elle vendu son âme au diable ?
On est loin des regards curieux et sympathiques de Pékin.